C'est alors qu'au fond du couloir, une porte en chêne massif s'offrait à vos yeux. Qu'y avait-il derrière ? Votre curiosité s'accentue lorsque vous voyez cette poignée d'un métal froid, rouillé par le temps. Un homme arrive.
- Et voilà, tout est terminé. Dit le maître des lieux.
Il entra dans la chambre, un bruit de raillerie d'épée se fit entendre lorsqu'il ouvrit la porte. Vous vous approchez. La pièce était simple, un lit simple, de paille. Cette dernière chose attire votre attention. Pourquoi un homme qui avait les moyens de vivre confortablement dort dans un lit de paille ? Celui-ci n'est pas un épicurien. Zaart aimait la simplicitée, un rien le suffisait. Vos yeux dérivent sur la gauche, parcourant les murs de pierres polies d'un gris assez clair. Vous constatez que la pièce est pratiquement vide. Dans un coin, un large bureau de frêne noir, dominé par un encrier, d'un plume et d'une feuille de papier, le strict minimum. Ah si, il y avait aussi un chandelier d'argent, qui devait être la seule pièce de valeur dans la salle. La lumière rougeâtre provenait du soleil qui se couchait, la fenêtre était effectivement à l'Ouest. Après avoir prit un petit objet dans un grand coffre derrière la porte, Zaart sortit. Vous vous rendez compte que vous n'existez pas, vous n'êtes qu'un narrateur.
La porte se ferme.